Paiement du loyer : début ou fin de mois ? Le guide pour bailleur

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Paiement du loyer : début ou fin de mois ? Le guide pour bailleur

Paiement du loyer début ou fin de mois ? : Guide pour bailleur

En France, la loi laisse libre le choix de la date de paiement du loyer, qu’il soit versé à terme échu (en fin de mois) ou à terme à échoir (au début). Mais entre théorie juridique et réalité de gestion, les choses peuvent vite se compliquer.

Alors, quand encaisser le loyer : au début ou à la fin du mois ?
Dans ce guide pour les propriétaires bailleurs, on vous explique ce que dit la loi, les avantages et inconvénients de chaque option, et comment simplifier le suivi des paiements grâce à l’outil Livimmo.

Que dit la loi sur la date de paiement du loyer en France ?

Si vous pensiez qu’il existait une “règle universelle” pour savoir quand payer ou encaisser un loyer, ce n’est pas le cas : la loi ne fixe aucune date obligatoire.
En réalité, tout dépend de ce que stipule le bail de location.

Deux options légales : “à terme échu” ou “à terme à échoir”

En droit locatif, on distingue deux modes de paiement :

  • À terme échu : le loyer est payé à la fin du mois, pour la période écoulée.
    Exemple : le loyer de novembre est réglé le 30 novembre.
  • À terme à échoir : le loyer est payé au début du mois, pour le mois à venir.
    Exemple : le loyer de novembre est réglé le 1ᵉʳ novembre.

Ces deux pratiques sont parfaitement légales. Ce qui compte, c’est que la date de paiement soit précisée dans le bail.
Sans mention spécifique, on considère par défaut que le loyer est dû à terme échu, c’est-à-dire en fin de mois.

Ce que dit la loi du 6 juillet 1989

  • L’article 7 de la loi du 6 juillet 1989 précise que le locataire doit s’acquitter du loyer aux termes convenus dans le contrat.
  • Aucune sanction n’est prévue pour un paiement “début” ou “fin de mois”, tant que les deux parties respectent le bail.
  • En cas de retard répété, le bailleur peut envoyer un rappel ou une mise en demeure, voire engager une procédure, mais seulement si la date était clairement fixée.

En clair : C’est le bail qui décide. La loi n’impose pas de jour fixe, mais elle exige que le locataire respecte ce qui a été signé.

Et si vous gérez plusieurs biens, ou que les échéances diffèrent selon les locataires… c’est là que Livimmo simplifie tout.
En un coup d’œil, vous voyez qui a payé, qui est en retard, et vos quittances sont générées automatiquement.
Pas besoin de calculer ni de relancer : tout est fait pour que la gestion reste simple, claire et sans stress.

Encaisser le loyer en début ou fin de mois : quelle option est la plus avantageuse pour le bailleur ?

Sur le papier, les deux options sont possibles.
Mais dans la pratique, le choix entre un paiement du loyer en début de mois ou en fin de mois peut avoir un vrai impact sur votre trésorerie et votre sérénité de gestion.

Alors, voyons ce qui change vraiment pour vous, bailleur.

Paiement en début de mois : plus de visibilité, moins de stress

C’est la solution la plus prévisible et la plus sécurisante pour un propriétaire.
En fixant le paiement au 1er du mois, vous savez exactement quand les loyers tombent.
Cela facilite :

  • le suivi de trésorerie (notamment si vous avez un crédit immobilier à rembourser),
  • la planification de vos charges et impôts,
  • et la detection rapide d’un impayé.

En clair, vous gardez la main sur vos rentrées d’argent.
Et côté locataire, ce mode de paiement reste courant dans les logements récents, les meublés et les locations professionnelles.

Paiement en fin de mois : la tradition... mais pas toujours pratique

C’est le mode “historique” des baux à usage d’habitation.
On parle ici de paiement à terme échu, souvent choisi pour des raisons de simplicité ou d’habitude.
Mais pour le bailleur, cela signifie :

  • une attente plus longue avant d’encaisser,
  • un risque de confusion en cas de retard,
  • et parfois des relances en cascade quand plusieurs locataires paient à des moments différents.

Rien d’illégal, bien sûr, mais moins fluide pour une gestion moderne.
D’autant plus si vous gérez plusieurs lots ou si vous travaillez avec un bien en colocation.

Un bail clair, une date fixe et un suivi automatisé : voilà le trio gagnant.

Et c’est justement ce que Livimmo facilite :

Vous définissez une fois la date d’échéance dans votre espace,
Livimmo envoie les avis d’échéance, suit les paiements et génère les quittances.
Résultat : moins d’oublis, plus de visibilité, et une gestion enfin à votre rythme.

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Comment choisir la bonne date de paiement pour votre bail ?

Vous l’avez compris : la loi ne vous impose rien, mais le bon sens, lui, recommande d’anticiper.

Voici les 3 critères à prendre en compte avant de trancher :

Le profil de votre locataire

Un jeune actif payé en début de mois ? Une famille avec un salaire versé en fin de mois ?
Pensez “praticité”.
Un paiement calé sur le rythme de vos locataires réduit les risques de retard et améliore la relation bailleur-locataire.

Exemple :
Si votre locataire perçoit son salaire le 30, inutile de prévoir un paiement le 1er : laissez-lui une marge de quelques jours.

Votre propre organisation financière

Si vous remboursez un prêt immobilier, payez des charges de copropriété ou devez régulariser des impôts fonciers, un paiement en début de mois peut grandement simplifier votre gestion.
Vous encaissez, vous planifiez, vous dormez tranquille.

Astuce : pensez à synchroniser la date de paiement avec votre calendrier bancaire pour éviter les décalages.

Le type de bail et de location

  • Bail vide classique : la plupart du temps, le paiement se fait à terme échu (fin de mois).
  • Bail meublé ou professionnel : le paiement à terme à échoir (début de mois) est plus courant.
  • Colocation ou location saisonnière : flexibilité totale, à condition que le contrat soit clair.

Peu importe le cas, ce qui compte c’est la cohérence : une seule date, identique chaque mois, clairement inscrite dans le bail.

Avant de signer le bail, vérifiez que :

  • La date de paiement est explicitement mentionnée.
  • Le mode de paiement (virement, prélèvement, etc.) est défini.
  • Le montant et les charges sont détaillés.
  • Et surtout : vous gardez une trace automatisée des versements (quittance, avis d’échéance…).

La touche Livimmo

Avec Livimmo, vous pouvez paramétrer une seule fois la date de paiement dans votre tableau de bord.
L’outil se charge du reste :

  • envoi automatique des avis d’échéance,
  • génération de la quittance après paiement,
  • alertes intelligentes en cas de retard.

Résultat : plus besoin de surveiller chaque virement.
Votre gestion locative devient fluide, claire et sans paperasse inutile.

Les modalités de paiement du loyer : lesquelles privilégier quand on est bailleur ?

Une fois la date fixée, reste à choisir le mode de paiement le plus pratique pour vous et pour votre locataire.
La loi autorise plusieurs options :

  • Virement bancaire : le plus courant, sécurisé et traçable.
  • Prélèvement automatique : idéal pour éviter les oublis et les retards.
  • Chèque : encore possible, mais de moins en moins utilisé.
  • Espèces : uniquement si le montant ne dépasse pas 1 000 € et avec reçu obligatoire.

💡 Conseil Livimmo : optez toujours pour un paiement traçable et daté. Avec Livimmo, chaque versement est automatiquement enregistré, associé au locataire et suivi dans l’historique des paiements.

Peut-on changer la date de paiement de son loyer ?

Changer la date de paiement du loyer est tout à fait possible, à condition que bailleur et locataire soient d’accord.
La loi ne fixe aucune date imposée : c’est donc la clause du bail qui fait foi. Si les deux parties souhaitent la modifier, il suffit de rédiger un avenant au contrat de location, précisant la nouvelle échéance et la date d’application.

En pratique :

  • Un simple avenant signé par les deux parties suffit.
  • Il est conseillé de notifier par écrit la nouvelle date (par courrier ou email).
  • L’avenant peut être rédigé à tout moment, tant que le locataire est d’accord.

Exemple : votre locataire vient de changer d’emploi et touche désormais son salaire le 5 du mois. Vous pouvez convenir ensemble que le loyer sera payé le 7, pour éviter tout décalage.

Attention à ne pas :

  • imposer unilatéralement le changement (cela rendrait la clause non valable) ;
  • appliquer la nouvelle date sans signature formelle.

Comment automatiser le suivi des paiements et éviter les retards avec Livimmo ?

Même avec la meilleure organisation du monde, un loyer payé en retard arrive toujours au mauvais moment.
Entre les virements oubliés, les week-ends fériés et les baux multiples, suivre les paiements peut vite tourner à l’exercice de jonglage.
La bonne nouvelle ? Aujourd’hui, tout ça se gère automatiquement.

Centraliser vos paiements sur un tableau de bord unique

Avec un logiciel de gestion locative comme Livimmo, vous disposez d’un tableau de bord clair, où chaque bien, chaque locataire et chaque loyer sont suivis en temps réel. Vous savez en un clin d’œil : qui a payé, qui est en retard et combien vous devez encore encaisser.

Automatiser les avis d’échéance et les quittances

Chaque mois, Livimmo peut envoyer automatiquement les avis d’échéance à vos locataires.
Une fois le paiement effectué, la quittance de loyer est générée et archivée automatiquement.
Résultat : zéro oubli, zéro paperasse.

Recevoir des alertes avant que le retard ne devienne un problème

L’un des avantages clés de Livimmo, c’est son système d’alertes intelligentes.
Si un locataire tarde à payer, vous êtes prévenu immédiatement, avant même que le retard ne s’accumule.
Cela vous laisse le temps d’agir sereinement, sans stress ni tension.

Gagner du temps (et de la tranquillité d’esprit)

Automatiser le suivi des loyers, c’est plus qu’un confort.
C’est la garantie d’une gestion maîtrisée, sans erreurs ni oublis.
Et surtout, cela libère du temps pour ce qui compte : développer votre patrimoine, trouver de nouveaux locataires ou simplement respirer un peu.

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Quels sont les risques en cas de retard de paiement ?

Un retard de paiement peut vite mettre à mal votre trésorerie. Heureusement, la loi encadre clairement les droits et recours du bailleur.

Un léger retard (de quelques jours) n’a pas forcément de conséquence immédiate, surtout s’il reste exceptionnel.
Mais il est important de documenter chaque incident pour garder une trace des échanges et des dates de paiement.

💡 Astuce Livimmo : le tableau de bord conserve l’historique complet des paiements, avec la date exacte de versement. Pratique pour suivre l’évolution de la situation et éviter les confusions.

Si les retards deviennent récurrents, vous pouvez :

  • envoyer une lettre de rappel ou de mise en demeure,
  • appliquer les pénalités prévues dans le bail (si elles y figurent),
  • ou, en dernier recours, faire jouer la clause résolutoire prévue par la loi du 6 juillet 1989 (après commandement de payer par huissier).

Avant d’en arriver aux rappels ou à la procédure, mieux vaut prévenir que guérir.
Un rappel automatique, une alerte anticipée et une communication claire évitent la majorité des incidents.

Et c’est justement là que Livimmo fait la différence : Le logiciel vous signale tout retard en temps réel, vous propose un message type de relance, et conserve la trace de vos échanges.

Résultat : vous restez réactif, professionnel… et zen.

 

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